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Oh la la Paris !
20 mars 2009

Pavlova aux fraises

Elles sont là, elles sont arrivées... C'est la saison des fraiiiiiiises!!!

Oui je sais, ces premières fraises sont d'après certains fades, grandes voyageuses, non écologiques, élevées en serres et irriguées aux engrais, pesticides et autres fongicides,... mais la volonté féminine humaine est faible et n'en déplaise aux grincheux, les fraises c'est bon...

Voici donc une recette de pavlova aux fraises. Recette simple et gourmande avec rien que des des bonnes choses: meringue, chantilly et fraises.

Pavlova_aux_fraises

Temps de préparation: 15mn

Temps de cuisson: 1h15

Temps de refroidissement: 1h

Ingrédients pour 6-8 personnes:

  • 6 blancs d'oeuf (à température ambiante)

  • 300g de sucre en poudre

  • 1CS de maïzena

  • 1CS de vinaigre blanc

  • extrait de vanille

  • 50cl de crème fleurette

  • 1 sachet de sucre vanillé

  • 600g de belles fraises

Préparation:

1. Préchauffer le four à 150°

2. Monter les blancs en neige ferme. Ajouter le sucre en 3 fois. Incorporer la maïzena, le vinaigre blanc et quelques gouttes d'extrait de vanille.

3. Disposer la meringue sur du papier sulfurisé en grand cercle épais ou en portion individuelle. La meringue doit être épaisse car à la fin de la cuisson elle est craquante à l'extérieure et fondante à l'intérieur.

4. Enfourner pour 1h15 puis laisser refroidir dans le four éteint, avec la porte entrouverte.

5. Monter la crème en chantilly (la crème doit être bien froide). Ajouter le sucre vanillé.

6. Au moment de servir disposer le disque de meringue dans une assiette. Etaler généreusement la chantilly sur la meringue et ajouter les fraises coupées en morceaux.

Autre recette de pavlova: Pavlova aux fruits rouges.

Imprimer la recette

flecheVoir les autres recettes de desserts

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Commentaires
P
bonjour!!<br /> <br /> voici un site sur lequel je suis inscrite et qui est super sympa: http://sirpriz.com/profile.php?mode=register&refer_id=2327<br /> sur ce site, échanges, swaps, surprises, et amitiés sont au rendez-vous,nous somme ségalement plusieurs passionnés de cuisine, nous nous échangeons nos recettes, secrets et astuces, on y parle de tout et de rien, enfin bre un forum plus que sympa!!
F
J'ai préparé ce gâteau pour fêter l'anniversaire d'une collègue au bureau, et le gâteau a été très apprécié. Tout le monde m'a donné sa date d'anniversaire !! Pourquoi donc !! Félicitations et merci !!
O
Merci Caro pour ton message on ne peut plus clair sur les dangers de l'achat de la fraise espagnole.<br /> A la lecture de cet article je ne peux m'empêcher d'être forcément d'accord. Au premier abord et présenté comme cela le contraire serait difficile. On est frappé par l'évidence et honteux d'avoir acheté de la fraise espagnole.<br /> <br /> Une observation toutefois:<br /> J'avais eu l'occasion de lire cet article sur le web plusieurs fois. Il s'agit en effet d'un texte écrit par Claude Marie Vadrot: http://www.politis.fr/Fruits-pourris,850.html. Le point hautement criticable a été sa large diffusion par email puis son incitation à la diffusion. C'est la raison pour laquelle on retrouve cet article sur la toile quelques milliers de fois. Cela a un nom: Le spam. Alors info ou inthoax? On serait tenté de dire que l'article respire le vrai. Quelqu'un a-t'il vraiment mené l'enquête? Ca se discute et mérite des recherches plus appronfondies qu'une lecture rapide de l'article. Se reporter plutôt à l'article de WWF: http://www.wwf.fr/content/search?SubTreeArray=2&SearchText=fraises+espagnoles.<br /> <br /> Soyons responsables oui! Mais pas aveugles.
C
Mon propos n'est nullement de faire la morale, mais de préciser de quoi il s'agit lorsque l'on parle de fruits ou légumes cultivés à n'importe quelles saisons et dans n'importe quelles conditions humaines et écologiques...<br /> D'ici à la mi‐juin, la France aura importé d'Espagne plus de 83 000 tonnes de fraises. Enfin, si on peut appeler «fraises» ces gros trucs rouges, encore verts près de la queue car cueillis avant d'être mûrs, et ressemblant<br /> à des tomates. Avec d'ailleurs à peu près le goût des tomates...<br /> Si le seul problème posé par ces fruits était leur fadeur, après tout, seuls les consommateurs piégés pourraient se plaindre d'avoir acheté un produit qui se brade actuellement entre deux et trois euros le kilo sur les marchés et dans les grandes surfaces, après avoir parcouru 1 500 km en camion. À dix tonnes en moyenne par véhicule, ils sont 16 000 par an à faire un parcours valant son pesant de fraises en CO2 et autres gaz<br /> d'échappement. Car la quasi‐totalité de ces fruits poussent dans le sud de l'Andalousie, sur les limites du parc national de Doñana, près du delta du Guadalquivir, l'une des plus fabuleuses réserves d'oiseaux migrateurs et nicheurs d'Europe. Il aura fallu qu'une équipe d'enquêteurs du WWF‐France s'intéresse à la marée montante de cette fraise hors saison pour que soit révélée l'aberration écologique de cette production qui étouffe la fraise française (dont une partie, d'ailleurs, ne pousse pas dans de meilleures conditions écologiques). Ce qu'ont découvert les envoyés spéciaux du WWF, et que confirment les écologistes espagnols, illustre la mondialisation bon marché.<br /> Cette agriculture couvre près de six mille hectares, dont une bonne centaine empiète déjà en toute illégalité (tolérée) sur le parc national. Officiellement, 60% de ces cultures seulement sont autorisées; les autres sont des extensions «sauvages» sur lesquelles le pouvoir régional ferme les yeux en dépit des protestations des écologistes.<br /> Les fraisiers destinés à cette production, bien qu'il s'agisse d'une plante vivace productive plusieurs années, sont détruits chaque année. Pour donner des fraises hors saison, les plants produits in vitro sont placés en plein été dans des frigos qui simulent l'hiver, pour avancer leur production. À l'automne, la terre sableuse est nettoyée et stérilisée, et la microfaune détruite avec du bromure de méthyl et de la chloropicrine. Le premier est un poison violent interdit par le protocole de Montréal sur les gaz attaquant la couche d'ozone, signé en 1987 (dernier délai en 2005); le second, composé de chlore et d'ammoniaque, est aussi un poison dangereux: il bloque les alvéoles pulmonaires.<br /> Qui s'en soucie? La plupart des producteurs de fraises andalouses emploient une maind'oeuvre marocaine, des saisonniers ou des sans‐papiers sous‐payés et logés dans des conditions précaires, qui se réchauffent le soir en brûlant les résidus des serres en plastique recouvrant les fraisiers au coeur de l'hiver.<br /> Un écologiste de la région raconte l'explosion de maladies pulmonaires et<br /> d'affections de la peau.<br /> Les plants poussent sur un plastique noir et reçoivent une irrigation qui transporte des engrais, des pesticides et des fongicides. Les cultures sont alimentées en eau par des forages<br /> dont la moitié ont été installés de façon illégale. Ce qui transforme<br /> en savane sèche une partie de cette région d'Andalousie, entraîne<br /> l'exode des oiseaux migrateurs et la disparition des derniers lynx<br /> pardel, petits carnivores dont il ne reste plus qu'une trentaine dans<br /> la région, leur seule nourriture, les lapins, étant en voie de disparition. Comme la forêt, dont 2 000 hectares ont été rasés pour faire place aux fraisiers.<br /> <br /> La saison est terminée au début du mois de juin. Les cinq mille tonnes de plastique sont soit emportées par le vent, soit enfouies n'importe où, soit brûlées sur place.<br /> Et les ouvriers agricoles sont priés de retourner chez eux ou de s'exiler ailleurs en<br /> Espagne. Remarquez: ils ont le droit de se faire soigner à leurs frais au cas ou les produits nocifs qu'ils ont respiré ...<br /> La production et l'exportation de la fraise espagnole, l'essentiel étant vendu dès avant la fin de l'hiver et jusqu'en avril, représente ce qu'il y a de moins durable comme<br /> agriculture, et bouleverse ce qui demeure dans l'esprit du<br /> public comme notion de saison. Quand la région sera ravagée et<br /> la production trop onéreuse, elle sera transférée au Maroc, où les industriels espagnols de la fraise commencent à s'installer. Avant de venir de Chine, d'où sont déjà importées des pommes encore plus traitées que les pommes françaises...
E
Ca sent le printemps et les beaux jours!
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